Clotilde van Dieren

Reviews

« (…) ci trovavamo davanti ad una meravigliosa cantante, dalla sontuosa voce, di rara omogeneità e proiezione nei vari registri, dal colore seducente, capace di modularla a piacere per ottenere la più alta espressività. »
Carthage Corriere di Tunisi
La mezzo-soprano belge Clotilde Van Dieren a clôturé dimanche 20 février 2022 la manifestation « Dar Sebastian fait son opéra ». Elle a offert, durant une heure de temps, un voyage lyrique sans frontière à travers un répertoire varié qui a réuni de grands compositeurs des XIXe et XXe siècles. Un concert de musique classique dans le style « Opéra » qui a donné l’occasion aux mélomanes de découvrir la haute voltige de la musique universelle et surtout de se situer dans cet espace en matière d’interprétation, de maîtrise du chant et d’instrument. Une aubaine aussi pour l’assistance de découvrir le talent du pianiste Mehdi Trabelsi, qui a émerveillé le public présent par sa présence et son talent.
Le récital commençait par un voyage dans les steppes de l’Asie centrale, en passant par l’Arabie, l’Afrique du Nord et a fini son voyage en Espagne. La séduisante Clotilde, rayonnante dans sa superbe robe, a enchanté le public. Sa voix s’est révélée être aussi agile qu’articulée et que volumineuse à souhait. Et quelle théâtralité elle a démontrée ! Cette charismatique diva joue aussi bien qu’elle chante… et elle chante magnifiquement bien. Elle nous a offert d’intenses minutes de ravissement grâce à une très solide interprétation des airs « Medje » de Charles Gounod, « Adieu l’hôtesse arabe » de Georges Bizet et des « Mélodies persanes » de Camille Saint Saens.
Clotilde, au-delà de sa parfaite maîtrise des partitions, a fasciné le public avec sa voix, dont la tessiture offre un grain velouté et généreux qui envoûte les mélomanes. (…). La pétillante mezzo-soprano a réussi à bercer le cœur de ses fans par ses chansons mélodieuses, dont « La brise », « La caravane », « L’amour sorcier »… Ses airs étaient l’occasion de montrer à la fois la virtuosité de sa voix, la pureté de son timbre cuivré et sa maîtrise parfaite des vocalises et des ornementations, tant dans « Carmen » que dans « Granada ». (…) Acclamés, chaleureusement applaudis, Clotilde et Mehdi quittent leur récital sur une excellente note. Le public était conquis et le centre culturel international d’Hammamet confirme alors sa programmation de qualité.
Le Temps News - Tunisie (Kamel Bouaouina)
La voix cristalline de Clotilde van Dieren s'est élevée sur ce superbe écrin de violoncelles en particulier dans les mélodies de Villa-Lobos.
Le Dauphiné Libéré (Annick Bourgoin)
Quand la Belgique illumine l’Acropolium « La Belgique était toujours présente le 23 octobre avec le récital de Clotilde van Dieren qui choisira de développer un programme articulé autour de compositeurs hispaniques. Cette mezzo-soprano a fait des merveilles en interprétant des chansons populaires de la tradition espagnole, leur donnant l’accent de l’opéra. »
Le temps.tn
L’autre invitée prestigieuse de la soirée a été l’excellentissime mezzo belge Clotide Van Dieren. (…) En plus d’une voix incroyable qui atteint immédiatement son audience et la transporte dans de sublimes univers de sensation et de découverte; elle fait du chant lyrique un moment de représentation où le jeu théâtral, qui se décline en langage corporel et expressions, a une place essentielle.
Octobre musical de Carthage (R. Khiari)
La grande classe de la mezzo-soprano ne faisait aucun doute. En quelques vocalises et envolées cristallines, elle avait vite fait de transporter l’audience dans une autre dimension. Didactique et précise, Clotilde van Dieren n’hésitait pas à replacer dans leur contexte les œuvres au programme. Avec quelques mots, elle expliquait le thème de tel chant ou la symbolique de tel autre. Son grand art du chant et le piano de Trabelsi faisaient le reste, évoluaient sur plusieurs registres et donnaient au chant sa plénitude. Du « Canto Negro » de Montsalvatge aux échos de la forêt tropicale dans l’oeuvre de Villa-Lobos, les spectateurs furent véritablement comblés.
Octobre Musical de Carthage (H. Bourial)
« Je vais être simple. C’est une voix qui respire la beauté, l’amour, c’est merveilleux et à la fois doux. C’est pour moi une chaleur en plus dans mon coeur »
« Je vous remercie, Madame, de m’avoir fait passé un tel après-midi très émouvant et très émotionnel avec votre voix »
« Très émouvant et prenant, j’en avais les larmes aux yeux. Bravo! »
« J’ai passé un moment sublime en votre compagnie. Félicitations. »
A bridge between two worlds (La Monnaie/DeMunt)
Avec Mahler et Strauss, sa voix radieuse, prémices d’une belle carrière fit resplendir les derniers feux du soleil de ces Heures romantiques.
La Nouvelle République (P. Haller)
Clotilde van Dieren fit valoir une voix saine et chaleureuse, une justesse sans faille et des aigus brillants, une assurance musicale et un évident bonheur de chanter.
La Libre Belgique
C’est toujours la première fois « Clotilde van Dieren était actrice sur scène et à l’écran avant de se consacrer au chant. La mezzo-soprano signe avec Jacques Sojcher (professeur de philosophie et d’esthétique à l’ULB, auteur) une « comédie musicale entre théâtre et opéra, où les genres sont dévoyés », pointe le poète-philosophe : « l’histoire d’un ravissement, à voir avec l’oreille et le cœur ». Ce spectacle « sur mesure, avec l’accordéon, le chant, la poésie, le texte, le jeu » était un rêve que concrétise la chanteuse. Une création pour trois personnages – le troisième étant l’accordéoniste Gwen Cresens – « qui habitent le théâtre le temps d’un songe, guidés par Ingrid von Wantoch Rekowski ». Complice de ce projet dans la position d’œil extérieur, la metteuse en scène, ultrasensible aux langages musicaux, cisèle depuis plus de vingt ans des objets scéniques hybrides et passionnants. »
La Libre Belgique
Elle a découvert les mélodies d’Adolphe Biarant (1871–1916) lors de ses études dans la classe de Ludovic de San et a su tout de suite qu’un jour elle les enregistrerait. Voilà qui est fait. Et bien fait. Avec la mezzo-soprano Clotilde van Dieren, Biarent l’oublié, libre penseur et militant culturel carolo au tournant du siècle, a trouvé une interprète à la hauteur de son cycle de huit mélodies. Car ce langage harmonique très contrasté, tantôt symboliste, tantôt dramatique, exige une sacrée tessiture. Du sur-mesure pour Clotilde, médium généreux, aigu aérien, qui offre en seconde partie de ce CD découverte une grande bouffée d’orientalisme. Elle y sème des mélodies de Saint-Saëns, Bizet, Gounod et Berlioz, inspirées par les vents venus d’Orient. Avec l’épatante complicité de la pianiste Katsura Mizumoto.
Larsen Magazine (Stéphane Renard)
Außerhalb Belgiens ist der feinsinnige Komponist Adolphe Biarent (1871-1916) wenig bekannt; das Label Cypres sucht ihn seit einiger Zeit ins Bewusstsein eines breiteren Publikums zu holen. Clotilde van Dieren (Mezzosopran) und Katsura Mizumoto (Klavier) stellen Biarents Lied Zyklus mit der pragmatischen Bezeichnung „Huit mélodies pour mezzo-soprano" in den Mittelpunkt ihres vom Symbolismus und der Begeisterung für den Orient des ausgehenden 19. Jahrhunderts geprägten Programms, das auch Kompositionen von Berlioz, Gounod, Bizet, Saint-Saëns, Chausson umfasst. Eine Interessante Begegnung.
Fono Forum (Gerhard Perché) ⭐️⭐️⭐️⭐️
Een oriëntale bloemlezing door Clotilde Van Dieren » Dit parelen jubileum vierde Cypres tegelijk met 150 jaar Adolphe Biarent (1871-1916). Dat was een goede gelegenheid om zijn Huit mélodies voor mezzo-sopraan voor het eerst op te nemen met Clotilde Van Dieren (mezzo) en Katsura Mizumoto (piano). (…) Het programma van deze cd is adequaat samengesteld. Er is duidelijk goed over nagedacht welke liederen te integreren en in welke volgorde. Dit duidt op veel onderzoek van het repertoire en het onderwerp. (…) Clotilde Van Dieren weet zowel in haar hoogtes als laagtes haar timbres evenwichtig uit te spelen. Naargelang de inhoud van de tekst klinkt ze de ene keer helder, dan weer donker. De soms snelle wissels in uitvoering getuigen van Van Dierens stemcontrole. Ook de pianopartij moet zeker niet onderdoen. De begeleiding komt op gepaste momenten naar de voorgrond en ook de virtuoze passages weet Katsura Mizumoto fijnzinnig te verklanken. Dit vergeten repertoire is het ontdekken waard. »
Klassiek-Centraal (Helena Gaudeus) ⭐️⭐️⭐️⭐️
La Chanson du vent – klanken gevoerd door de wind. Het Oosten is steeds een bron van inspiratie geweest voor beeldende kunstenaars en componisten. Vooral tijdens de late Romantiek en het fin-de-siècle was er een hele hype. Het was bijvoorbeeld de periode waarin er in Brussel een moskee werd gebouwd, toen nog enkel voor uiterlijke doeleinden. De oostenwind voerde droomachtige taferelen mee waar iedereen in wilde verdrinken.

Droom - De Belgische mezzo-sopraan Clotilde van Dieren neemt u met haar nieuwe album La Chanson du vent mee op sleeptouw naar die wereld, onder pianobegeleiding van Katsura Mizumoto. Het is werkelijk een onderdompeling in de wereld van toen, met een knipoog naar de wereld van de karavanen zoals die toen werd ervaren. Een wereld waarin grootsteden in het Oosten nog niet bezoedeld waren met Westerse concepten. Een wereld waarvan men het leven als sprookjesachtige belevenis overromantiseerde. Men probeerde de woestijnwind te vangen in ritmes met arabesken, in een spel tussen mineur en majeur. De afwijkende tonen die niet vreemd, maar eerder zoet klonken spraken tot ieders verbeelding. Het zoete timbre van de stem van van Dieren beantwoordt aan die gedachte.

Verscheidene (vooral) Franse en Belgische componisten lieten hun gedachten naar het oosten reizen zonder er effectief zelf te zijn geweest. Onder hen Camille Saint-Saëns, Charles Gounod en Hector Berlioz. Het mooie aan deze melodieën is dat er een hele eigen fantasiewereld in wordt blootgelegd, er wordt een eigen betekenis gegeven aan de klank van het oosten. Pas later zou de oriëntaalse muziek echt worden bestudeerd. Het is net het dromen naar dat het surreëel maakt voor componist en luisteraar. Het is ook niet steeds zo dat de melodie persé oosters klinkt, soms draait het om nuances in tekst. Daarom geeft die album een terechte kijk op de muzikale, literaire en architecturale tendens van toen.

Belgisch - Naast deze grote namen, is er ook aandacht besteed aan een componist van bij ons. Adolphe Biarent (1871-1916) schreef met zijn acht melodieën voor mezzo-sopraan een uitdagend werk dat in de lijn zou kunnen gezien worden van de uitdagingen die het exotisme aan muzikanten bood. Deze acht melodieën lijken op het eerste gezicht onsamenhangend. Maar wanneer men gaat kijken naar de gedichten (van onder andere Maeterlinck en Verlaine) ziet men de verwijzing naar het respecteren van de rechten van de mens, naar vrijheid in muziek en gedachten. Maar ook zijn er verwijzingen naar landelijke rustieke romantische gedachten en taferelen. Het oriëntalisme zonder ervoor te moeten reizen. Eindigend met de totale zachtheid van Jean Lahors gedichtLe chanson du vent, dat op dit album twee werelden met mekaar weet te verbinden. Laat u vervoeren door de wind, met teksten over de maan, over aanrakingen, over bloemen, karavanen en de broeiende zon boven de Kasbas waar een boom staat vol zoete appelsienen. Pluk en proef.”
Cultuurpakt (Veerle Deknopper)
C’est peu courant : un programme de mélodies orientalisantes prend son envol dans la musique belge à partir des huit mélodies pour mezzo d’Adolphe Biarent, composées sur des poèmes symbolistes d’une grande liberté. Il ne reste à une Clotilde van Dieren, dont la sobre expressivité s’incruste au cœur des œuvres, soutenue par l’accompagnement impliqué du piano de Katsura Mizumoto, qu’à programmer un voyage exotique via Berlioz, Gounod, Bizet, Saint-Saëns, Chausson et les moins connus Salvador-Daniel et Félix Fourdrain. Une petite merveille.
Le Soir (Serge Martin) ⭐️⭐️⭐️
Pour ses trente ans, le label Cypres réaffirme ses engagements, notamment en faveur des répertoires belges méconnus et leur mise en lumière par des artistes acquis à la cause. Dans ce cas, c’est le Hennuyer Adolphe Biarent (1871-1916), qui ouvre la marche avec un cycle de huit mélodies à l’écriture imaginative et savante, tour à tour épique ou poétique, introduisant le thème qui inspirera tout le programme : l’Orient (et la femme orientale), vu par les hommes – poètes et compositeurs – du XIX°. Un univers aux mélismes sensuels et aux rythmes balancés (Katsura Mizumoto au piano), auquel la mezzo belge Clotilde van Dieren offre un timbre chaud et coloré, une diction parfaite et un grand naturel.
Martine Dumont Mergeay (La Libre Belgique) ⭐️⭐️
En cette fin d’année 2021, le label belge Cyprès édite le premier enregistrement de la mezzo-soprano bruxelloise Clotilde Van Dieren, accompagnée par la pianiste japonaise Katsura Mizumoto, dans un programme autour d’Adolphe Biarent (1871-1916). Compositeur, violoncelliste et chef d’orchestre né à Frasnes-lez-Gosselies dans le Hainaut, il joua un rôle très actif dans la ville de Charleroi en dirigeant le Conservatoire de la ville et en le dotant d’un orchestre symphonique qu’il conduira lui-même. Auteur de nombreuses partitions orchestrales, composées pour l’orchestre de la ville, il coucha aussi sur le papier quelques pièces de musique de chambre ainsi que les Huit mélodies gravées sur ce disque. Dans ce cycle inspiré par les textes de poètes symbolistes et folkloristes (Maurice Maeterlinck, Pierre Quillard, Jean Lahor, Paul Fort, Hélène Vacaresco, Paul Verlaine), chaque pièce offre son atmosphère personnelle. Autour de Biarent, d’autres œuvres inspirées par le même courant orientaliste, en pleine vogue au XIXème siècle : La Captive de Berlioz, rare et pourtant si envoûtante, Chanson mauresque de Salvador Daniel, reprise par Biarent dans ses Contes d’Orient, Medjé de Charles Gounod, et d’autres pépites de Saint-Saëns, Chausson, Fourdrain et Bizet. Outre l’originalité du répertoire, c’est la minutie et la finesse de l’interprétation qui retiendra le mélomane. La chaleur de la voix de Clotilde Van Dieren, la justesse de ton, la diction claire et la souplesse de ses arabesques sont ses premiers atouts pour aborder ces pièces aux accents arabisants. C’est au cours de ces longs mois de confinements qu’elle a croisé la route de Katsura Mizumoto, en résidence à la Chapelle Reine Elisabeth et que leur collaboration a débuté. Le jeu de la pianiste vient renforcer la voix avec nuance et raffinement. On se prend à regretter qu’une œuvre pour piano seul ne se soit pas glissée dans le programme ! Deux musiciennes à suivre, assurément !
N. Ronvaux (Point Culture)
Clotilde van Dieren, soprano, et Edmond Carlier, violoncelliste, excellent dans l’interprétation de la musique baroque, romantique et actuelle. La jolie, jeune cantatrice, fort expressive, la diction parfaite en espagnol, italien et français, parfaite actrice par surcroît, fit entendre une magnifique voix de soprano, tout aussi onctueuse en mezzo, dans un chant populaire et l’aria de Haendel Lascia ch’io pianga. Après quoi on alla de découverte en découverte. Découverte, plus rare encore, du violoncelle et de ses possibilités. Découverte enfin de la beauté des compositions modernes pour violoncelle et voix.
Une première merveille fut les Akhmatova Songs de la poétesse russe, mis en musique par l’Anglais John Tavener. Ici, la cantatrice mérite un bravo spécial, car comme dans les meilleures compositions modernes le compositeur explore les sons dont la sensibilité est encore à fleur de peau. La cantatrice parvient à entonner des demis tons au-dessus ou en dessous de la note donnée par le violoncelle, et à maintenir juste les dissonances entre la voix et l’instrument.
Une autre, également étonnante, est de Carlier lui-même: l’arrangement pour les chants Nana et Asturiana de Manuel De Falla.
Enfin, le dernier morceau du concert fut grandiose: la Cancion al arbol del Ovido de Alberto Ginastera. Cette chanson sous l’arbre de l’oubli entraîne la sensibilité de l’auditeur par la dissonance entre le violoncelle et la voix dans toutes les régions de la tristesse, de la nostalgie ou du doux bonheur de la mémoire.
Par cela même, elles vous prennent au fond de l’âme.
Quant à la présentation du concert, la soprano prépare l’audition de chaque pièce par un bref commentaire extrêmement bien fait qui rend l’intérêt du programme aussi évident que le talent et le charme du duo. La Gioia, à retenir !
Les Cahiers de la Semaine (Nicole Verschoore)
Met veel bewondering en verbazing heb ik geluisterd naar het duo La Gioia.
Bewondering omdat ik werd bevangen door het sublieme samenspel van twee topmusici.

Verbazing omdat ik door hun unieke samenklank en originele arrangementen werd geconfronteerd met de essentie van wat voor mij muziek betekent.
Twee harten, twee zielen en twee klankwerelden versmelten zich tot een geheel. 

Een geheel dat bestaat uit vitaliteit, ontroering en pure schoonheid…
Een schoonheid waaraan we ons eeuwig kunnen laven…
Dirk Brossé
Ils se sont trouvés : elle est issue du Conservatoire de Bruxelles où elle s’est d’abord formée à l’école du théâtre, lui est soliste de l’Orchestre symphonique de La Monnaie, magnifique chambriste. Depuis 2005, Clotilde van Dieren et Edmond Carlier forment un duo insolite et très prisé, se produisant partout en Europe, dans un répertoire sur mesure. Pas de piano, juste besoin d’un peu d’espace pour se poser et déployer la voix.(...). Le concert, avait réuni une centaine de personnes, l’équivalent d’un "sold out". Proches des artistes et mélomanes avertis purent ainsi suivre un programme allant de Purcell à Johann Strauss, où Clotilde van Dieren fit valoir une voix saine et chaleureuse, une justesse sans faille et des aigus brillants, une assurance musicale et un évident bonheur de chanter. Découverte encore : l’incroyable talent d’Edmond Carlier, capable de faire entendre, à lui tout seul, l’Adagietto de la 5ème  de Mahler….
La Libre Belgique (Martine Dumont Mergeay)
Hierbij wil ik met al mijn enthousiasme, bedanken voor dit geweldige recital. Clotilde van Dieren zingt als een Nachtegaal en zorgde ervoor dat ik een brok in mijn keel kreeg.  Wat een geweldige charmante verschijning is zij en wàt een professionele cello-speler is hij. Dank-jullie-wel, dat jullie in deze grauwe gevangenis Licht gebracht hebben vanavond. Met grote dank aan «De Munt» en ik hoop van ganser harte dat er nog vele «muziek-momenten-uitvoeringen mogen volgen.
Leuven’s prison
Un concert exceptionnel : « C’est dans un monde de recueillement et de magie que nous ont entraînés la ravissante soprano Clotilde van Dieren et le talentueux violoncelliste Edmond Carlier devant 200 spectateurs émerveillés ce mardi 12 juillet à l’église de Carnac-Rouffiac. Clotilde Van Dieren dont la pureté de la voix n’a d’égal que le scintillement de son regard et la passion qu’émane son corps tout entier a divinement interprété les oeuvres telles que Selve amiche de Caldara; Domine Deus, Gloria de Vivaldi; Piangero la sorte mia, Giulio Cesare de Handel; Ave Maria de Gounod; Una donna quindici anni, Cosi fan tutte, Mozart; Mi Buenos Aires querido de Gardel, Près des remparts de Séville, Carmen de Bizet... Elle était accompagnée par Edmond Carlier qui a interprété Aria de Bach; Una furtiva lagrima, Elisir d’amore de Donizetti; Adagietto, 5ème Symphonie de Malher, une vraie union charnelle entre le maître et son instrument pour le plus grand bonheur des personnes présentes. Ce couple éblouissant, uni en une symbiose sonore unique, nous ont entraînés dans leur monde pour un concert de haut niveau. Le public, debout, a longuement applaudi les artistes qui n’ont pas hésité à interpréter deux morceaux supplémentaires. Merci Clotilde et Edmond pour ce beau cadeau.»  
Le Petit Journal du Lot 
Een prachtige sopraan, ontroerend cello spel en een unieke samenklank, dat is wat Duo La Gioia ten gehore brengt. De Belgische Clotilde van Dieren en Edmond Carlier geven een intiem concert van uitzonderlijke klasse. Zij heeft een prachtige warme stem en weet met haar uitstraling en acteertalent de schoonheid van de muziek perfect over te brengen. Hij, een veel gevraagd cellist en solist bij het Symfonie Orkest van de Brusselse Muntschouwburg, komt met Clotilde tot een subliem samenspel in originele arrangementen. Zij noemen zich niet voor niets Duo La Gioia, de muziekvreugde straalt er bij deze topmusici van af. Op het programma staan o.a. opera aria’s van Händel, Mozart, Bellini en werken van Vaughan Williams, Dvorak en Tosti.
Hoorn - NL (Marleen Weel)